La naissance ainsi que la mort, le beau et le laid, sont singulièrement les détails visibles sur lesquels on porte notre regard, à l'insu et en dépit des valeurs qui y sont conjointes.
L'on a constaté de surcroît, précédemment, que les contraires se rencontrant, s'entrechoquant, provoquent puis produisent des réactions similaires, donc à double effet, le pire et le meilleur *; ce qui distingue, et qui est particulièrement intéressant, ces nouvelles "progénitures", se base sur deux points essentiels qu'il faut approfondir.
Le 1er en évidence dans la chronologie est que bien que la naissance engendre la mort, cette dernière engendre une nouvelle naissance qui pourtant échappe à des règles cartésiennes et dont l'intrigue se manifeste par un pouvoir non-éxécutif de la matière; les facteurs engendrés (*) sont libres d'évolution ce qui n'est pas le cas du pouvoir éxécutif de la matière.
Le 2ème, en découlant, réside dans le fait qu'ils sont à la fois rationnels et irrationnels; rationnels puisque vécus et/ou ressentis, irrationnels car non justifiables scientifiquement, impalpables.
Mais ces deux divergences s'assemblent en un accord subtil avec les deux premières, plus stables. La combinaison mathématique actuelle pourrait dès lors s'écrire telle que 2+2+1.
Le 1 étant le résultat du paradoxe de l'incontrôlabilité qui s'y rajoute ineffablement, le mystère du choix qui ne nous est pas révélé.
La conception du signe du Tao étant faite de la sorte schématique illustrée, et s'écrivant 2+2, il reste à savoir où se place le 1 dans sa dimension. Il est inscrit dans les courbes, non révélé mais apparent.
Quant au cercle, il s'agit de chercher un autre paramètre qui lui donne un sens, le sens du "Tout", le =...
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