dimanche 22 avril 2007

Checking behind the material


Le facteur "x" n'est ni plus ni moins que le "+1", l'embryon lui-même.
Il est une véritable explosion constatée dans la théorie du Big-Crunch, tout comme la propagation de la naissance.

On découvre ici son développement, son évolution.

La création, (la courbe dans le signe du Tao) est constituée de deux paramètres importants; elle est la résultante de la force de l'harmonie, mais est active et réactive.

La question qui restera latente, est que cette réactivité porte forcément des conséquences majeures sur cette tentative de thèse. Une explosion n'est pas sans influence.

Le cercle est une fois de plus présent, il est constaté ici. Cependant, la création, ce qui est engendré, est rattachée à une matière (nous l'appelerons comme ça pour le moment, et sera le sujet primordial dans un post ultérieur) que nous pouvons ici définir physionomiquement, mais qui échappe au contrôle dans celui de l'irrationnel et dont dépend la relativité (le concret et la suggestivité détaillés dans les posts précédents).

Nous pourrons désormais passer aux détails qui n'en sont pas moins, en parlant du Big-Bang, seule théorie envisagée scientifiquement, astronomiquement. Ainsi nous y appliquerons des faits qui en sont conjugaux.






jeudi 5 avril 2007

Parallel between the Big-Crunch


Pour ne pas s'éparpiller et tenir la ligne directrice, revenons à ces deux cellules "manquantes", dont on parlait de tranche visible, et de celle qui ne l'est pas; pour cela, la photo ci-dessous va nous aider en la "disséquant".
La tranche visible l'est par transparence, dans le croisement que forme la continuité des deux cellules, et semble de visu contredire, dénaturer et fausser les calculs, puisque l'on serait tenter de la considérer comme une seule entité.
La perspective de ce qui constitue ce croisement est pourtant bien une rencontre entre corps distinctifs, un entrelacement et également un entrechoc, il y a donc bien deux facteurs mêlés (on retrouve par conséquent le "+2" manquant), créant et dévellopant tant dans la constatation du phénomène suggestif (le calcul inadéquat) que concrètement et matériellement le maillon +1.
Ce dernier, soit l'embryon (les courbes dans le symbole du Tao) est la résultante qui pose cependant problème; on a démontré que sa définition est tant d'ordre rationnel qu'irrationnel puis qu'il est le fruit des conséquences existentielles de deux "natures" qui en sont génératrices.


Sur l'image de ce post, on fera un parallèle entre la naissance de ce facteur, et de ce qu'il engendre lui aussi à son tour; on repartira de la fin pour revenir au début de la création.


Donc l'illustration plus haut est celle qui schématise le "Big-Crunch", soit la fin de l'univers. Mais elle est très significative puique toutes les données sont présentes en elle; la cause de l'engendrance porte en son sein une réaction incontestable, un facteur que l'on nommera "x" pour l'instant.


On déterminera plus lointainement son amplitude, il sera primordial dans le sujet.


Tout sur cette synthèse y est instruit, à un détail près pour comprendre ce qu'est en réalité la vie.


L'entrechoc crée une perturbation (ici en bleu), et dont nous comprendrons que le cercle qui englobe les éléments réactifs est encore une fois bien présent.


Mais il n'est finallement pas le "Tout" dans la relativité, mais est assujetti à outre ce dit-ensemble qu'il forme, on le verra bien après, et la réelle question de qui nous sommes, de la place que l'on a dans l'univers, ce cercle est-il vraiment l'essentiel ?


Et sinon, qu'est-ce qu'il y a de plus primordial que ce "tout" ? on le déterminera en adéquation avec l'évolution de ces analyses.


lundi 2 avril 2007

similarity


Autre image du Tao, qui rejoint parfaitement les calculs "révisés"; deux cellules de même taille, le 2+2 (on détaillera ultérièrement le sous-jacent du + 2; en effet il semble ici que physiquement on n'en aperçoive que la tranche) , et la naissance d'un embryon, le facteur énuméré en tant que chiffre 1.

Il s'agit bien d'une apparition inéluctuable à la vie, on le contaste sur cette représentation, il est pour l'instant minoritaire, mais sans cesse croîssera sans aucune prétendue maîtrise.

C'est indéniable, les courbes du Tao se manifestent aussi charnellement, comme on le constate ici. C'est la théorie de la cause à effet, que l'on détaillera.

Qui plus est, l'ensemble se maintient dans une sphère, le cercle énoncé.

Mathématiquement on se retrouve avec les données chiffrées 2+2+1 Lorsque naissance il y a.

La phère représentée sans volume (mais tellement représentative) est donc le sujet du dernier post. Elle est bien définie car elle existe concrètement, et est percevable matériellement.

Pour donner le sens recherché à ce cercle, à ce "Tout", nous irons plus loin dans l'expectative tout du moins de pouvoir prétendre atteindre sa vertu.

Pour l'instant nous comprendrons qu'il y a deux phénomènes à considérer : le "2" manquant visuellement, et le rapport/détachement que comporte le "1" qui pour l'esprit se veut de simplifier ce qui a déjà été dit auparavant et qui paraît ambigü, puisque l'on sait qu'il a une influence majeure sur l'au-delà de la matière.

On va tenter une approche établissant les diverses concordances/discordances en distingant les paramètres clés qui ne se "voient" pas, pour les détails énumérés qui n'en sont pas moins, bien au contraire...

dimanche 1 avril 2007

The Circle


La naissance ainsi que la mort, le beau et le laid, sont singulièrement les détails visibles sur lesquels on porte notre regard, à l'insu et en dépit des valeurs qui y sont conjointes.

L'on a constaté de surcroît, précédemment, que les contraires se rencontrant, s'entrechoquant, provoquent puis produisent des réactions similaires, donc à double effet, le pire et le meilleur *; ce qui distingue, et qui est particulièrement intéressant, ces nouvelles "progénitures", se base sur deux points essentiels qu'il faut approfondir.

Le 1er en évidence dans la chronologie est que bien que la naissance engendre la mort, cette dernière engendre une nouvelle naissance qui pourtant échappe à des règles cartésiennes et dont l'intrigue se manifeste par un pouvoir non-éxécutif de la matière; les facteurs engendrés (*) sont libres d'évolution ce qui n'est pas le cas du pouvoir éxécutif de la matière.

Le 2ème, en découlant, réside dans le fait qu'ils sont à la fois rationnels et irrationnels; rationnels puisque vécus et/ou ressentis, irrationnels car non justifiables scientifiquement, impalpables.

Mais ces deux divergences s'assemblent en un accord subtil avec les deux premières, plus stables. La combinaison mathématique actuelle pourrait dès lors s'écrire telle que 2+2+1.

Le 1 étant le résultat du paradoxe de l'incontrôlabilité qui s'y rajoute ineffablement, le mystère du choix qui ne nous est pas révélé.

La conception du signe du Tao étant faite de la sorte schématique illustrée, et s'écrivant 2+2, il reste à savoir où se place le 1 dans sa dimension. Il est inscrit dans les courbes, non révélé mais apparent.

Quant au cercle, il s'agit de chercher un autre paramètre qui lui donne un sens, le sens du "Tout", le =...

vendredi 16 mars 2007

By means of through

Si l'on parle d'une réelle et présente désinvolture de l'impression de la matière, paradoxalement elle n'engage pas la destitution d'importance de la vie que cette matière contient ; on ne valorise finalement que ce dernier côté sans considérer la véritable amplitude qu'est une création.
A la base, la relativité à elle seule devrait nous suffir, ce qui n'est pas la cas. On se réjouit d'une naissance et on fait un deuil majoritairement pénible selon les circonstances lorsqu'un proche décède (sur un pourcentage plus que conséquent), les funérailles tout de blanc échappant à la règle, rejoignant une pensée honorant la libération de l'être et qui plus est, la célébrant.
On honore la naissance, on méprise la mort ou on la vénère ;
le plus beau s'accompagne systématiquement, immédiatement et radicalement du pire ou du meilleur, tout comme par opposition le plus laid possède d'identiques propriétés.

vendredi 9 mars 2007

Step two > Return to one


La vie est par conséquent insufflée, provoquant l'inspiration ; la seconde étape pour demeurer est d'expirer, pour rétablir l'équilibre stabilisant les contrastes et contraires.

Il est intéressant de considérer que dès lors que l'on naït, on enclenche le processus d'expiration, donc de la mort. Jusqu'à expirer son dernier souffle, le restituer d'où il est venu.

Il est sans doute en nécessité de renaissance lui-même, allant s'abreuvoir à sa source afin de se renouveler et d'être libéré de ce dans quoi il s'est emprisonné durant un temps: une matière.

C'est pourquoi la vie est si dure, on suffoque en alternance, on comble la déficience inhérente en compensant par des ressources oxygéniques en de profondes bouffées.

On peut également constater que ces inspirations provoquées sont en majeure partie jumelées aux soupirs ; mais ce qu'on gagne on le reperd selon l'identique quantité "consommée".

Ce phénomène peut sembler être un réel éxutoire à notre besoin de subsistance, la réalité n'en constitue pas moins qu'il ne fait que confirmer la propre règle de son identité, son entité : il évolue incontestablement dans le sens de sa logique (le terme soupir est contextuellement synonyme de mort).

La naissance et la mort portent donc tous deux l'atout fondamental et immuable d'une perpétuité de ce dit souffle.

En conclusion la naissance n'est pas primordiale dans la relativité, ni même le décès.




samedi 24 février 2007

First breath, just born

L'inspiration est induite par un souffle, sorte de naissance neuronale intra-circulaire émanente.
De l'inspiration suit l'idée clarifiée qui mène aux décisions, puis en découlent les actes.
On peut donc en conclure que le souffle est la base même de l'essence de l'être.
Simple, pour une naissance.